Le Festival du cinéma africain, FESPACO, vient de fêter sa vingtième édition à Ouagadougou, capitale du Burkina. À cette occasion, Mona Makki a rencontré l’un des principaux pionniers du cinéma burkinabé et témoin privilégié de la naissance de ce festival, Gaston Kaboré.

Cette semaine, Espace francophone va à la rencontre des réalisateurs africains présents lors du 20ème FESPACO (Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou), la plus grande manifestation cinématographique du continent africain, pour connaître leurs difficultés, leurs attentes, leurs ambitions et leur position face aux enjeux de la diversité culturelle.

Michel Ocelot, fils d’enseignants, a gardé de son enfance en Afrique des souvenirs harmonieux et beaux. Dans cette émission-portrait (dont la deuxième partie est diffusée ce soir), il évoque, avec un grand talent de conteur, son enfance africaine, l’amitié qui le liait aux petits Africains dont il a toujours admiré l’aisance corporelle. Allégoriquement, cette aisance se traduit dans la naissance de Kirikou, qui s’enfante tout seul.
Michel Ocelot se définit comme un alchimiste. Il a inventé ses techniques d’animation. Il adore ce métier où tout peut constamment se réinventer. Le grand succès de Kirikou et la sorcière, puis de Kirikou et les bêtes sauvages, lui a permis de remettre à jour ses travaux oubliés. C’est le cas de Princes et Princesses, une série de petites histoires en ombres chinoises d’une grande délicatesse.
Dans Azur et Asmar, Michel Ocelot nous livre une nouvelle fois un superbe conte véritable hymne au dialogue des cultures et à l’universalisme.

Michel Ocelot, fils d’enseignants, a gardé de son enfance en Afrique des souvenirs harmonieux et beaux. Dans cette émission-portrait (dont la première partie est diffusée ce soir), il évoque, avec un grand talent de conteur, son enfance africaine, l’amitié qui le liait aux petits Africains dont il a toujours admiré l’aisance corporelle. Allégoriquement, cette aisance se traduit dans la naissance de Kirikou, qui s’enfante tout seul.
Michel Ocelot se définit comme un alchimiste. Il a inventé ses techniques d’animation. Il adore ce métier où tout peut constamment se réinventer. Le grand succès de Kirikou et la sorcière, puis de Kirikou et les bêtes sauvages, lui a permis de remettre à jour ses travaux oubliés. C’est le cas de Princes et Princesses, une série de petites histoires en ombres chinoises d’une grande délicatesse.
Dans Azur et Asmar, Michel Ocelot nous livre une nouvelle fois un superbe conte véritable hymne au dialogue des cultures et à l’universalisme.

Ce numéro est notamment consacré à la 10ème édition de la Semaine du Cinéma du Québec à Paris, et au film événement de Sylvestre Amoussou « Africa Paradis ».
Extraits de films et entretiens avec les réalisateurs.

Ce numéro est consacré à l’actualité du cinéma francophone avec notamment un reportage sur les réalisateurs francophones présents lors du dernier Festival de Cannes .
Extraits de films et entretiens.

Au sommaire de ce numéro consacré à l’actualité des cinémas francophones, quatre films à l’affiche à Paris :
- Congo River, dernier film du Belge Thierry Michel
- Marock de la Marocaine Laïla Marrakchi
- le premier long-métrage venu de l’île Maurice, Bénarès de Barlen Pyamootoo
- Les artistes du théâtre brûlé du Cambodgien Rithy Panh
Extraits de films et entretiens avec les réalisateurs.

Ce numéro est consacré au 58ème Festival de Cannes.
Extraits de films et entretiens avec des réalisateurs francophones de divers pays du Sud.

Ce numéro est notamment consacré
- au 19ème FESPACO, Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou, plus grande manifestation cinématographique du continent africain
- au Festival Le court en dit long du Centre Wallonie-Bruxelles
- au Festival canadien de films courts de Paris.
Extraits de films et entretiens avec les réalisateurs.

Ce numéro est consacré au 57ème Festival de Cannes.
Extraits de films et entretiens avec des réalisateurs