Le magazine de la francophonie fait escale au Niger, à la découverte de la vie quotidienne de trois personnages :
- Fatouma Tahirou est garagiste à Niamey, elle nous évoque son parcours de femme dans ce secteur.
- Fatouma Mahaouya est maire de Tillabéri, une commune constituée de petites îles dans lesquelles elle rend visite à ses administrés en pirogue et en char à boeufs.
- Le groupe de rap Wass Wong, très populaire auprès des jeunes, mélange des paroles sans concessions aux sonorités des instruments traditionnels nigériens.

Dans cette émission, le magazine Espace francophone va à la rencontre d'Éloïse Barbieri (Vallée d’Aoste), jeune alpiniste qui a participé activement à la rénovation du Fort de Bard devenu musée multimédia consacré aux Alpes et au patrimoine valdôtain.

Aboubacar Samaké est le responsable malien du projet de développement d’une plante aux richesses extrêmement prometteuses : la Jatropha curcas plus communément appelée pourghère.
Cette plante oléagineuse pousse naturellement malgré l’aridité du climat. Son huile à haute valeur énergétique est utilisée par la population locale en carburant de substitution pour les véhicules, transformée en électricité, par de simples groupes électrogènes, mais également en insecticide ou en fertilisant et même en savon.
Aboubacar Samaké est un personnage attachant qui nous plonge à la découverte de cet or vert du Sahel.

Le magazine Espace francophone va à la rencontre de deux entrepreneurs béninois aux parcours exemplaires :
- Sébastien Ajavon est à la tête d’un puissant groupe d’agro-alimentaire et aussi fondateur d’un centre de formation de footballeurs professionnels.
- Régis Facia, fonde Top Chrono en 1995 qui est aujourd’hui un acteur majeur de la distribution du courrier en Afrique.

Depuis l’assassinat du Premier ministre Rafic Hariri, la guerre de l’été 2006 ainsi que le blocage institutionnel qui paralyse le Liban depuis des mois, le pays du Cèdre se trouve, à nouveau, confronté aux difficultés économiques et sociales. Pourtant ici et là des initiatives individuelles ou collectives tentent d’apporter des solutions, de créer l’espoir.

Pendant des siècles le français a été très présent dans l’archipel des Cyclades, notamment grâce aux écoles religieuses. Le magazine Espace francophone a été à la rencontre de Grecs aux activités très diverses qui, contre vents et marées, perpétuent aujourd’hui cette tradition dans les îles de Tinos et de Syros.

Cette semaine, ce numéro présente les portraits de francophones qui ont en commun d’être de véritables moteurs de la vie culturelle de leurs pays :
- Le sénégalais Ousmane Sow qui est aujourd’hui considéré comme l’un des plus grand sculpteur africain contemporain,
- L'Haïtienne Colette Pérodin qui dirige la Fondation Culture Création et anime à Port-au-Prince un programme d'éducation des jeunes par les arts,
- Les conteurs Adama et Hachimou qui se battent avec cœur pour développer le réseau culturel et artistique au Niger,
- Mohamed Ali, peintre à Moroni aux Comores.

Le train express Dakar-Bamako relie deux fois par semaine ces deux capitales de l’Afrique de l’Ouest et remplit, malgré des difficultés, une mission essentielle entre les deux pays : désenclaver le Mali qui n’a pas d’accès à la mer et apporter des produits du terroir au Sénégal.
Pendant trois jours, les voyageurs, des commerçantes pour la plupart, organisent leur vie dans cet espace réduit, mangent, dorment et prient avec une patience incroyable malgré les pannes et les retards, égayés par les arrêts dans des gares colorées.

Ce numéro présente les portraits de deux francophones qui ont en commun l’amour des mots :
- Guy Lionnet, d’origine mauricienne, a rejoint très jeune les Seychelles pour devenir progressivement un chantre de l’identité de ce pays en tant qu’historien, linguiste et homme de théâtre
- Alexandre Najjar, avocat et écrivain libanais d’expression française vient de publier son dernier roman Le silence du ténor, dédié à son enfance beyrouthine et à un père omniprésent.

Au coeur du Sahara, au nord de la Mauritanie, une saison particulière, la Guetna, attire chaque année de juin à juillet des centaines de personnes venues des quatre coins du pays.
C’est la saison de la cueillette des dattes qui dépasse largement le plaisir de déguster le fruit élu, depuis toujours, par les peuples du désert. C’est également la saison des rencontres et des échanges qui redonne à la palmeraie l’importance qui lui est propre dans la vie de la communauté.