Après presque deux décennies de guerre, le cinéma libanais est loin de représenter une industrie. Pourtant, grâce à des cinéastes appartenant à des générations différentes, ce cinéma existe et fait parler de lui. Mona Makki a rencontré Jean Chamoun (Une ombre sur la ville), Ghassan Salhab (Beyrouth fantôme), Johana et Khalil Joreige (La maison rose) ainsi que Mohammad Soueid (Le tango de l¹espoir).