Écrans francophones
Écrans francophones n° 58, Cinéma à Ouaga : Delphine raconte...
Le Festival du cinéma africain qui se tient à Ouagadougou, le Fespaco, est certes un rendez-vous important pour les professionnels et les festivaliers, mais il est également, à chaque fois, une grande fête populaire qui s’empare de la ville.
Pour cette 21ème édition, Mona Makki a choisi de suivre Delphine Ouattara, une comédienne du Burkina, affectueusement surnommée Mamoutta par le public africain
Écrans francophones n° 57
Ce numéro est notamment consacré à un entretien avec le réalisateur cambodgien Rithy Panh à l’occasion de la sortie de son film « Un barrage contre le Pacifique », à la 12ème édition de la Semaine du Cinéma du Québec à Paris, au Festival franco-québécois Off-courts de Trouville ainsi qu’au lancement d’un bouquet de télévisions francophones africaines dans le paysage audiovisuel français.
Extraits de films et entretiens avec les réalisateurs.
Écrans francophones n° 56
Ce numéro est notamment consacré à un Florilège du Cinéma québécois, miroir d’une société qui affirme sa singularité.
Extraits de films et entretiens avec les réalisateurs.
Écrans francophones n° 55
Ce numéro est consacré à l’actualité du cinéma francophone, avec notamment la présence de réalisatrices, comédiennes, et productrices du Sud présentes lors du 61ème Festival de Cannes .
Extraits de films et entretiens.
Écrans francophones n° 53 : Liban, le cinéma en V.O.
Le film libanais, souvent primé lors des festivals, connaît depuis quelque temps un succès honorable auprès du grand public. Caramel est l’un de ces paris gagnés.
Entre Beyrouth et Paris, Mona Makki a rencontré quelques-uns de ces cinéastes libanais de la nouvelle génération tels que Nadine Labaki, Ghassan Salhab, Joana Hadjithomas et Khalil Joreige.
Écrans francophones n° 52 : Spéciale Cinéma du Congo-Kinshasa
À l’occasion de la 16ème Quinzaine du Cinéma Francophone présentée au Centre Wallonie-Bruxelles de Paris, Espace francophone propose un panorama du cinéma congolais.
Le magazine a rencontré de nombreux réalisateurs qui expriment l’ambition et la grande diversité de ce cinéma du Sud trop méconnu, en particulier :
- Monique Phoba, qui après avoir participé à l’essor de la télévision au Bénin, vit actuellement entre la Belgique et Kinshasa, qu’elle a créé des ateliers de formation au cinéma,
- Béatrice Badibanga, réalisatrice de courts métrages, qui vit à Lubumbashi,
- Mwezé Ngangura, un des pionniers du cinéma congolais, qui en 1983 présentait son premier film du FESPACO à Ouagadougou,
- Zéka Laplaine qui a présenté son quatrième long métrage “Kinshasa Palace“ en séance d’ouverture de la Quinzaine du cinéma francophone.
- Guy Kabeya, un jeune réalisateur qui a créé sa propre structure de production à Kinshasa et qui présente son troisième court métrage.
Le magazine a aussi rencontré un historien du cinéma congolais, le Belge Guido Convents ainsi que l’animateur de la Quinzaine du cinéma francophone du Centre Wallonie-Bruxelles, Louis Héliot.
Écrans francophones n° 51 - Spéciale Cannes 2007
Ce numéro est consacré à l’actualité du cinéma francophone avec notamment un reportage sur les réalisateurs francophones présents lors du 60ème Festival de Cannes .
Extraits de films et entretiens.
Écrans francophones n° 50 - Gaston Kaboré, un cinéaste africain
Le Festival du cinéma africain, FESPACO, vient de fêter sa vingtième édition à Ouagadougou, capitale du Burkina. À cette occasion, Mona Makki a rencontré l’un des principaux pionniers du cinéma burkinabé et témoin privilégié de la naissance de ce festival, Gaston Kaboré.
Écrans francophones n° 49 - Spéciale 20ème édition du FESPACO
Cette semaine, Espace francophone va à la rencontre des réalisateurs africains présents lors du 20ème FESPACO (Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou), la plus grande manifestation cinématographique du continent africain, pour connaître leurs difficultés, leurs attentes, leurs ambitions et leur position face aux enjeux de la diversité culturelle.
Michel Ocelot, le nouvel alchimiste - 2ème partie : Le creuset de fraternité
Michel Ocelot, fils d’enseignants, a gardé de son enfance en Afrique des souvenirs harmonieux et beaux. Dans cette émission-portrait (dont la deuxième partie est diffusée ce soir), il évoque, avec un grand talent de conteur, son enfance africaine, l’amitié qui le liait aux petits Africains dont il a toujours admiré l’aisance corporelle. Allégoriquement, cette aisance se traduit dans la naissance de Kirikou, qui s’enfante tout seul.
Michel Ocelot se définit comme un alchimiste. Il a inventé ses techniques d’animation. Il adore ce métier où tout peut constamment se réinventer. Le grand succès de Kirikou et la sorcière, puis de Kirikou et les bêtes sauvages, lui a permis de remettre à jour ses travaux oubliés. C’est le cas de Princes et Princesses, une série de petites histoires en ombres chinoises d’une grande délicatesse.
Dans Azur et Asmar, Michel Ocelot nous livre une nouvelle fois un superbe conte véritable hymne au dialogue des cultures et à l’universalisme.