Un portrait du grand chanteur africain Ismaël Lô qui a sorti fin 2006 son 22ème album, Sénégal, un hommage à sa terre natale.
Dans cette émission, il évoque son enfance, ses années d’apprentissage au temps où il fabriquait ses guitares et jouait sur des harmonicas offerts par son père, ses sources d’inspiration, son violon d’Ingres la peinture, ses révoltes, son attachement au dialogue des cultures et des religions.
Espace francophone qui suit Ismaël Lo depuis 1993, nous propose plusieurs extraits de ses concerts en particulier les plus récents à la Cigale et en Principauté d’Andorre pour la fête internationale de la Francophonie.

Née en 1958 suite à la volonté d’élus mauritaniens de transférer le centre administratif du territoire de Saint-Louis du Sénégal en Mauritanie, Nouakchott n’a cessé de s’étendre en repoussant les dunes du désert du Sahara. Le magazine de la francophonie y a rencontré des personnages et les a suivi dans leurs activités quotidiennes : Yacine est chanteur dans une formation familiale, Aminata vient de finir ses études, Driss nous propose de surfer sur internet sous une cyber-tente et Lematt nous présente le centre commercial qu’elle a construit avec son association de femmes entrepreneurs.

Aujourd’hui, Espace francophone nous invite à Ouidah au Bénin, ville historique, ancienne côte des esclaves et capitale du Vaudou. Plusieurs personnages ont été choisis pour parler de leur vie quotidienne et de leur cité :
- Émile Désiré Ologoudou, sociologue, conseiller du culte Vaudou
- Antoinette Chodaton, assistante de production à la radio
- Père Villaça, vicaire général, curé de la Basilique de Ouidah
- Tobias Agbo, adorateur du python, une des divinités vaudou
- et Chacha De Souza, dont l’ancêtre a été vice-roi de Ouidah.

Cette semaine, ce numéro présente des humoristes venus de divers pôle de la francophonie :
- Maxim Martin (Québec)
- Manga Ndjomo (France)
- François Pirette (Belgique)

Le Festival du cinéma africain, FESPACO, vient de fêter sa vingtième édition à Ouagadougou, capitale du Burkina. À cette occasion, Mona Makki a rencontré l’un des principaux pionniers du cinéma burkinabé et témoin privilégié de la naissance de ce festival, Gaston Kaboré.

Cette semaine, Espace francophone va à la rencontre des réalisateurs africains présents lors du 20ème FESPACO (Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou), la plus grande manifestation cinématographique du continent africain, pour connaître leurs difficultés, leurs attentes, leurs ambitions et leur position face aux enjeux de la diversité culturelle.

Cette semaine, ce numéro présente les portraits de francophones qui ont en commun d’être de véritables moteurs de la vie culturelle de leurs pays :
- Le sénégalais Ousmane Sow qui est aujourd’hui considéré comme l’un des plus grand sculpteur africain contemporain,
- L'Haïtienne Colette Pérodin qui dirige la Fondation Culture Création et anime à Port-au-Prince un programme d'éducation des jeunes par les arts,
- Les conteurs Adama et Hachimou qui se battent avec cœur pour développer le réseau culturel et artistique au Niger,
- Mohamed Ali, peintre à Moroni aux Comores.

Le train express Dakar-Bamako relie deux fois par semaine ces deux capitales de l’Afrique de l’Ouest et remplit, malgré des difficultés, une mission essentielle entre les deux pays : désenclaver le Mali qui n’a pas d’accès à la mer et apporter des produits du terroir au Sénégal.
Pendant trois jours, les voyageurs, des commerçantes pour la plupart, organisent leur vie dans cet espace réduit, mangent, dorment et prient avec une patience incroyable malgré les pannes et les retards, égayés par les arrêts dans des gares colorées.

Le roman “L’immeuble Yacoubian” fut incontestablement un événement littéraire en Égypte bien sûr mais aussi dans beaucoup d’autres pays, notamment en France.
  Quelques mois à peine après sa sortie, le livre a déjà été adapté au grand écran et un feuilleton télévisé est en cours de préparation.
  Alaa El-Aswany, l’heureux auteur, parfaitement francophone, vit au Caire où Mona Makki l’a rencontré.

Ce numéro présente les portraits de deux francophones qui ont en commun l’amour des mots :
- Guy Lionnet, d’origine mauricienne, a rejoint très jeune les Seychelles pour devenir progressivement un chantre de l’identité de ce pays en tant qu’historien, linguiste et homme de théâtre
- Alexandre Najjar, avocat et écrivain libanais d’expression française vient de publier son dernier roman Le silence du ténor, dédié à son enfance beyrouthine et à un père omniprésent.